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Edito n°- 9
La cendre du jeûne
Lundi
4 Juin 2012
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Les
frères du « 118 » …
[ comme nous disions autrefois c’est plus glamour que la maison de
formation et scolasticat ! ] ont le soucis de donner des nouvelles ; ce
sont même le meilleurs ! Albert en est leur attaché de presse et nous
bataillons un peu pour passer les messages et les lourdes photos… Mais vous
trouverez dans les pages du site quelques mini-reportages…
1.
Une note du février, nous fait part de la visite du Père Bernard
Baussand, maître des postulants-novices et d’Olivier Fleau, novice. Leur
accueil a été meublé par une célébration eucharistique qui a réuni tous les
scolastiques et leurs visites autour du repas spirituel, l’Eucharistie. A
cette messe était présente aussi Colette, la « maman des scolastiques » qui
ne cesse de leur témoigner son affection fraternelle et … maternelle. Après
la célébration Eucharistique il y a ce que les scolastiques, appellent « à
l’issue », c’est-à-dire le déjeuner animé par le zèle humoristique des
scolastiques. C’était donc une journée merveilleuse pour tous : certains
sont contents de revoir leur maître de novices et d’autres sont contents
d’évoquer leurs souvenirs de la maison de formation.
2.
Moi d’Avril, moi de visite fraternelle
Dans le moi d’Avril, nous avions la joie d’accueillir nos frères ainés dans
la vie religieuse. A pâque c’est la visite du Père provincial, Bruno Lecoin
et le Père Thierry Marcos tous deux de la communauté d’Annecy. Ils sont
venus partager avec nous la joie pascale. Nous avions partagé le repas
ensemble à la manière des premières communautés chrétiennes. Chacun
exprimait sa joie à sa façon et cette diversité d’expression de joie rendait
la fête plus belle. Le lapin de pâque n’a pas manqué au rendez-vous. La fête
était tout simplement belle. Quelques jours après pâque nous avions reçu la
visite de l’équipe du marathon béninois venue participer au marathon
d’Annecy. Il s’agit du Père Guillaume Kambounon, de Patrice Lompo, le
vainqueur du marathon de Parakou, et Romuald Vissoh, journaliste. Le Père
Bernard TOHA de passage en France est venu aussi nous rendre visite. Toutes
ces visites sont pour nous des marques d’une vie fraternelle exemplaire. De
notre permanent sur place Fr Afolabi Albert, Scolastique OSFS
Jean Luc Leroux...
après un retour du Bénin, mouvementé, un petit à l’hôpital a repris du
service. Nous le voyons tous les lundis à Mercury. Pour un moment
fraternel. Ce mardi 5 juin il sera là encore pour la dernière soirée GR
73 ! (Chemin salésien partagé avec une petite douzaine de personnes ! )
« Nos œuvres au service de Dieu ! »
Un nouveau programme est en gestation pour l’an prochain et nos annonçons
déjà les 24 h de Myans les S 16 & D 17 mars 2013 …avec une soirée tout
public … Musique chant textes etc …
« Se conduire dans le monde… » … avec le premier de
cordée !
« Les 24 h de Myans » propose à chaque participant de revisiter ce lien
« naturel » qui « encorde » Dieu et l’homme, traversant bine des mondes et
vivant tellement d’événements !
« … sans aller nous avancerons; sans nous remuer de notre place, nous
tirerons pays, comme font ceux qui cinglent en haute mer sous un vent
propice. » F de S. Lettre (XXVI, 272)
Ce sera un temps de ressourcement personnel & une initiation à la
spiritualité salésienne.
La commission salésienne
poursuit son travail et a repris ses rencontres. La dernière en date fit
au bord du lac à Saint Jorioz, où Jean Luc nous offrit la table et le
salon pour deviser sur nos fondements salésiens ! C’était le tour de
Michel T, de plancher ! Gageons que Jean Luc bientôt nous fera un petit
retour sur une année de fonctionnement !
Ah au fait,
Bernard de Clairvaux, Toha,
depuis la terre d’Afrique sévit sur Facebook. Avec des pages qui petit à
petit s’émaillent de citations salésiennes… l'idée lui est venue de
partager avec les amis quelques extraits des écrits de SFS…
http://facebook.com/berndeclair
Au passage un grand merci à Jean Paul Bergeri
pour une conférence à Albertville … « Saint François de Sales
(1567-1622) » Un saint savoyard, protecteur des femmes en couches, Fondateur
de la Visitation et patron des journalistes ! En attendant que nous vous la
fassions partager en voici un court extrait pour dire combien Mercury
est un haut lieu salésien. Conférence de Jean-Paul BERGERI, guide du
patrimoine des Pays de Savoie et archiviste diocésain
On a écrit « Ce fut merveille qu’en cette naissance périlleuse, l’accouchée
ne perdît la vie » du fait que St François de Sales est un prématuré de 7
mois : à l’époque où la probabilité de survie, à terme, était d’une fois sur
deux, naître à 7 mois, cela n’était pas simple.
Sa mère avait 15 ans (on est adulte, quasiment, à cette époque), c’est son
premier enfant, ce qui explique qu’à côté d’elle, il y a sa grand-mère
maternelle.
C’est ainsi qu’il a deux prénoms : François Bonaventure (à l’origine,
c’était considéré comme un prénom masculin, mais c’est également un prénom
féminin) car sa grand-mère s’appelait Bonaventure.
Comme elle a été la marraine : la règle, à cette époque, la marraine donnait
son nom et qu’elle avait 4 maris, cela veut dire qu’elle a 5 noms. Aussi, on
a pris le nom de jeune fille de la grand-mère, ce qui était plus simple : à
l’origine, c’est Bonaventure de CHEVRON VILETTE.
Chevron était le nom paroissial de qui, au niveau communal, s’appelait «
Mercury-Gemilly » (c’était deux communautés, mais la paroisse s’appelait «
Chevron »), en dessous de Tamié, puisque les pères de Chevron, au XII°
Siècle ont permis l’existence matérielle de Tamié, car ce sont eux qui ont
donné le plus de terrains à l’abbaye qui s’y est installée.
Ce qui explique que, sur le clocher de Mercury, la présence de 5 statues
monumentales dont celle de la vierge et celles de St Joseph, passe-partout,
Nicolas II, pape, originaire de Chevron, Benoît Théophile de CHEVRON VILETTE,
archevêque de Tarentaise, cousin de St François de Sales lequel est
originaire de Chevron et St François de Sales.
Thierry M osfs
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