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La
France, l’Afrique du Sud et le Kenya s’invitent au 5ème marathon de
Parakou le 11 février 2012
notamment
avec la participation
d’ Emili Rotich
Guillaume Kambounon,
l’organisateur des marathons salésiens de Parakou travaille d’arrache pied
avec son équipe afin de ne pas priver les fans de ce rendez-vous sportif
béninois devenu déjà international. Mais alors que la date de la tenue de
l’évènement se compte encore en nombre de mois, la France, l’Afrique du Sud
et le Kénya ont déjà annoncé leur présence. Selon certaines critiques, la
participation de la kényane Emili Rotich changera certainement le destin de
ce marathon.
L’après prologue
La date du 11février 2012
approche à grandes enjambées pour le bonheur des populations parakoises qui,
une fois encore auront le mérite de réussir ce pari de la réédition de leur
marathon. Lors de la descente hier d’une équipe de notre rédaction au foyer
des Oblats de Saint François de Sales de Parakou, laboratoire de conception
de ce sport de masse, nous avons rencontré une équipe qui travaille
d’arrache pied afin de ne pas se laisser surprendre par le temps. Guillaume
Kambounon est confiant de la réussite de cette 5e édition. C’est d’ailleurs
une obligation pour le prêtre qui sait désormais que tous les regards sont
braqués sur l’évènement. C’est dire que la renommée des marathons salésiens
dépasse déjà les frontières béninoises. Par la performance du meilleur
recordman du marathon salésien, Patrice Lompo sur le marathon du lac
d’Annecy, le travail de Guillaume Kambounon et de son équipe est honoré. De
plus, les participations personnelles de Guillaume au super marathon
Comrades de l’Afrique du Sud ont été salutaires quant à la promotion du
travail qui se fait à Parakou. A plus de cinq mois de l’évènement,
français, sud africains et kényans se bousculent déjà pour participer au
rendez-vous. Emili Rotich, cette marathonienne connue pour sa performance et
son endurance a récemment adressé un courrier électronique aux organisateurs
pour leur notifier son engagement de courir aux côtés des autres
marathoniens. La recordwoman du marathon du Lac d’Annecy (2h32) écrivait aux
organisateurs du marathon salésien : « It’s quiet along time since we
communicate but to me I’m very fine. My training is well preparing for the
race » et d’ajouter dans la suite de la correspondence: « I’m looking for
word for that rain in Benin ». Il n’est donc plus de doute sur sa présence
à Parakou courant le début du mois de Février 2012.
Et alors ?
Par cette participation, la
kényane risque de ravir la vedette à Benti, vainqueur habituelle dans la
catégorie des dames. A cette allure, une nouvelle page se s’ouvre t-elle pas
pour les marathons salésiens ?
Cet article a été "pompé"
sur
.. et bien sûr le
retrouverez avec mille autres informations sur le site :
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