Un document  envoyé par Bernard Baussand osfs Troyes

Un troisième tour, tranquillement.

Qui est cachée ?

Le repos du coureur.

Le 21ème km....

Un compteur à faire rêver

 

 

 

    Le semi-marathon de Troyes !

En ce beau dimanche ensoleillé du 8 mai, tandis que d’aucuns parcouraient les sentiers de l’Histoire, d’autres couraient dans le semi-marathon de Troyes ! Plus de trois mille coureurs étaient à ce rendez-vous traditionnel proposant 21km, 7km et le ‘semi-entreprise’ (2oo équipes de trois coureurs, en relai) ; mille cent athlètes, sur mille trois cents, ont terminé les 21km, faisant trois fois le tour du ‘Bouchon de Champagne’. Il faisait déjà chaud et les six stands de pause express ont été bien appréciés au long du parcours. Pas de surprise sur la nationalité des vainqueurs : un Kényan (1h3’50’’) et une Ethiopienne (1h17’32’’). A signaler surtout parmi les vainqueurs d’endurance : Djangue de Diane, en religion sr Léonie Fifame osfs,  qui a couru en 2h30, et Cyprien Messié, postulant osfs, qui a mis 2h35. Bravo à tous les deux pour leur persévérance ! Interrogé, Cyprien a trouvé l’ambiance très sympathique ; « c’était un bon partage convivial, beaucoup se retrouvaient comme pour une sortie ensemble, avec des gens de tous âges. Mon allure (NDLR : de coureur déterminé mais peu entraîné) m’a permis de voir d’une façon un peu différente le paysage urbain, les rives du canal, de découvrir certaines rues, d’autant que les rangs se sont assez vite clairsemés. L’organisation est bien à la hauteur de l’événement, pour la sécurité, pour les problèmes de santé ; l’inscription était à 15 euros. L’accueil aux stands de ravitaillement, tenus par des jeunes et des adultes était chaleureux et… rafraîchissant (eau, éponge,…) ! J’ai suivi au début Léonie Fifame, mais les ‘grandes pattes de gazelle’ se sont vite éloignées !.. Ce fut un bon moment, bien que difficile ; quand arrivent les deux derniers kilomètres, la proximité de l’arrivée redonne du courage, mais le dernier est affreux, c’est celui de l’éveil des douleurs, alors que l’on voudrait forcer un peu !... » Un apprentissage pour le marathon ?